
Que de mieux que le sentiment que d'être en vacance! aah! live free on pacific highway! Un monde idéal où la liberté d'occupation est le centre de notre pensée, une non obligation au travail. Une obligation à la non obligation; une non obligation à l'obligation de la non obligation. Avoir ce sentiment est presque nirvanique et voir venir le sentiment, être dans l'expectative du sentiment de vacances est quasiment mieux que d'être en train de le vivre.
L'art de conjuguer ce sentiment prend toute sa dimension quand on occupe un travail qualifié de boulot... oui oui comme celui qu'on occupe quant-on travaille dans une shop ou tout autre travail qui nous éloigne de notre moi essentiel; ce moi qui s'épanouis, celui qui aime celui qui va comme j'te pousse. En appréhendant cet état , l'on dynamise une mise en situation futuriste, non inconnu car année après année on exploite cet état d'âme.
Les vacances durent alors beaucoup plus longtemps et si l'activité l'avère une différent à chaque occasion, on tombe dans le mode expectative inconnu. Alors là c'est le choc mental! Voir venir l'inconnu, attendrir l'appréhension du moment futuriste est très métaphysique et jouissif. Alors mes amis soyez visionnaire de vos futurs connus et inconnu. Prophétisez votre propre vie! Jouissez de ce que votre cerveau soit doté de cette capacité et remercier le grand tout ou cette fameuse ensemble énergétique englobant tout le bien des esprits et âmes de ce monde.
2 commentaires:
Moi là, à la pensée de vacances à venir, j'exulte...et je m'enthousiasme encore plus, les 2 pieds dans les vacances.Euh...! Ben...Paul, chuis plus sûre de ce que j'avance. Je pense que ç'est le fun de saliver devant une carte postale des Îles Turquoises, surtout quand on voyage plutôt dans l'imagination qu'autrement (non c'est pas vrai, l'aute jour je me suis rendue jusqu'à Stoke...héhé!) Mais Paul, quand on visualise qu'on est dans l'Île, on peut presque sentir le vent sur sa peau, être ébloui par le vert mouillé de l'océan...et quand plish! notre pied prend contact avec le sable chaud mêlé de goudron, c'est comme tu dis le nirvana.On y est presque, et en plus avec l'imagination on a beaucoup de travellerzes tchèques. Wow! T'as raison au fond, je préfère nettement mieux visualiser mes vacances, c'est plus à ma portée. Saudite étoile que la vie est ben faite! Et vive Stoke le pays de toutes les Rachel!
Glorszy on the beach xx;-)
Moi là Paul-oh! les culottes, je m'ennuie de ton lancer du soulier (un)...tellement que je suis même pas sûre que tu l'as encore ce soulier unique en son gendre (ce qui n'a aucun rapport direct avec ta belle-mère ou celle de quelqu'un d'autre).Ce qui fait que: aurais-tu l'amabilité particulière de lancer un soulier en ma présence, une fois comme un numéro qu'on improvise?
Merci à l'avance vous êtes ban n'aimable...
Gloglo les culottes aussi xx;-)
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